L'Union Belge est toujours sans CEO et réfléchit à une solution temporaire après le retrait de Vincent Mannaert

La deuxième tentative de donner à Vincent Mannaert un rôle au sein de l'URBSFA a échoué. Le Conseil d'administration, dirigé par Pascale Van Damme, avait initialement choisi à l'unanimité Piet Vandendriessche comme CEO, mais a finalement conclu huit mois plus tard qu'il n'était pas suffisamment qualifié.

Après son départ, Mannaert semblait être un successeur logique, mais sa venue a finalement été annulée en raison d'un manque de soutien au sein du Conseil, en particulier parmi les membres francophones. On espérait que Mannaert, avec son expérience au Club de Bruges, pourrait restructurer sportivement la fédération.

L'Union Belge est plongée en plein doute

Cependant, tout comme lors de la première tentative, des doutes subsistaient quant à sa nomination. L'ancien homme fort du Club voulait notamment une séparation du rôle de CEO (sportif, dont il se serait occupé, et un autre CEO non-sportif), ce qui n'a pas été validé. Ces doutes ont poussé Mannaert à retirer sa candidature. L'Union Belge envisage maintenant une réaction rapide et envisage la nomination d'un CEO intérimaire.

Peter Willems, actuellement à la tête du département des sports et de l'arbitrage, est évoqué comme le candidat principal. Willems a déjà mis en œuvre de nombreuses réformes au sein de la fédération et était proche de Vandendriessche, ce qui fait de lui un choix logique.

En plus de la recherche d'un nouveau CEO, l'URBSFA doit également trouver un nouveau directeur technique, car le contrat de Franky Vercauteren ne sera pas renouvelé. Le poste de nouveau directeur juridique reste aussi vacant pour le moment, ce qui aggrave encore plus l'incertitude au sommet de la fédération.