🎥 A 8 contre 11 pour arracher les prolongations, 26 minutes de temps additionnel : fin de match complètement folle en Conférence League
Photo: © photonews
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La Conférence League nous offre souvent l'occasion de découvrir certaines équipes méconnues grâce à des matchs mémorable. Mais l'affrontement entre le Slask Wroclaw et Saint-Gall a dépassé toutes les espérances.
Après la victoire 2-0 des Suisses de Saint-Gall sur les Polonais du Slask Wroclaw à l'aller, le match retour aurait pu être sans histoire pour les visiteurs. D'autant plus qu'après 20 minutes, Saint-Gall ouvrait le score via Bastien Toma, qu'on a brièvement connu à Genk.
Avec trois buts d'avance, il ne restait plus qu'à passer en mode gestion pour assurer la qualification pour les barrages. C'est tout le contraire qui s'est produit.
Alors que le score était toujours de 0-1 à la 40e minute, le tableau d'affichage indiquait...3-1 pour le Slask au repos, avec trois buts en 5 minutes dans un stade surchauffé.
En deuxième mi-temps, à un quart d'heure de la fin du temps règlementaire, Aleks Petkov obtient un penalty pour les Polonais dans la liesse générale. C'est le tournant du match : l'arbitre est appelé par le VAR et décide de revenir sur sa décision. Le penalty est annulé, Petkov jauni pour simulation. Problème : le garçon avait déjà été averti, le Slask a donc abordé le dernier quart d'heure en infériorité numérique.
Une histoire de penalties
Malgré les assauts de l'équipe suisse revigorée, le Slask a tenu bon jusque dans le temps additionnel. A la dixième des douze minutes d'ajout, l'arbitre sanctionnait les Polonais d'un penalty après une faute de main.
Le gardien a repoussé l'envoi, pour envoyer les deux équipes en prolongation. Mais à la fureur générale, l'arbitre a fait retirer le penalty pour des joueurs entrés trop tôt dans la surface. Dans le chaos général, un autre joueur du Slask a été exclu.
Saint-Gall n'a cette fois pas tremblé en convertissant le penalty, le but de la qualification. Mais avec toute cette agitation, le temps additionnel est monté jusqu'à 26 minutes (quasiment le temps des prolongations). Les Polonais ont donc poussé jusqu'au bout mais n'ont réussi qu'à récolter une troisième exclusion, dans un climat de bagarre générale.
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