Il manquera le Mondial dont il a tant rêvé: "Je m'en doutais, mais ça fait quand même mal"
Nicolas Lombaerts ne le cache pas: manquer cette Coupe du monde en Russie, c'est douloureux. Même si...
La Russie et Nicolas Lombaerts, c'est une histoire qui a commencé en 2007 et qui aura duré dix ans, puisque l'ancien Diable Rouge est revenu en Belgique en début de saison. Et il l'admet dans une interview accordée au Nieuwsblad, manquer ce rendez-vous là, dans son 'pays d'adoption', "ça fait mal". "Parce que c'est en Russie surtout. Si le Mondial s'était joué ailleurs, ça aurait été moins douloureux."
"C'était un signe"
"Mais je le savais. A 33 ans, les chances étaient réduites que j'y sois. Je n'ai jamais vraiment été dans les bonnes grâces de Roberto Martinez. Dès le début, j'étais en tribunes. Ensuite, j'ai eu plus de temps de jeu avec le Zenit, mais je m'asseyais toujours en tribunes avec les Diables, c'était un signe."
Il s'est donc assez rapidement fait une raison. "Même en jouant ailleurs, j'avais compris. Dès qu'un coach ne t'a pas dans ses petits papiers, ça devient difficile..."
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot