Le coach de L'Olympic amer : "On s'est tué nous-même, mais l'arbitre nous tue aussi"

Les deux pénalties manqués en première période ont évidemment coûté cher aux Dogues. "C'est énorme. On savait qu'on pouvait faire quelque chose, mais même après ces deux ratés on loupe encore le 1-1 sur l'occasion de Jordan Henri. Quand ça ne veut pas rentrer, ça devient compliqué", réagissait le T1 carolo.

Le second but des Liégeois était lui entaché d'une sortie de balle avant que Jiyar ne marque. "Les arbitres étaient bons, mais sur le deuxième but, la balle était clairement sortie. Ça nous a coupé les jambes et le troisième but tombe dans la foulée. En une minute, l'arbitre nous a tué, même si on se tue nous-même avant."

Les Dogues ont pris un petit coup sur la tête mais pourront tirer des enseignements pour la prochaine confrontation contre Liège, qui tombera durant le tour final. "Ce ne sera pas du tout le même contexte, mais ça joue quand même psychologiquement. Le mental doit être prêt, il faut donc oublier ça au plus vite. Au vu de la première mi-temps, Liège a eu plus la possession mais pas une seule occasion après son but sur contre-attaque. Celui qui n'aura vu que le score, il va se dire qu'on s'est fait tuer, mais ça ne reflète pas vraiment la réalité."