Bolat et l'expérience turque

"Je connaissais les conditions en signant", se souvenait Sinan Bolat au moment d'évoquer son passage à Galatasaray il y a quelque temps dans les pages de La Meuse. "Muslera était le numéro un. J’ai tenté de bouleverser la hiérarchie mais c’est un monument. Il a enlevé trois titres et les supporters l’aiment beaucoup."

"Le fameux chauvinisme turc ne m’a pas frappé à Galatasaray. C’est la réalité en Turquie : les étrangers sont plus populaires que les footballeurs du cru. J’ai démontré en Coupe que je pouvais défendre le but de n’importe quel club turc. Je peux affirmer sans fausse pudeur que j’ai eu une large part dans ce succès final."