Lolo aux anges: "Il n'y a pas de mots pour décrire ce que je ressens"

"Pour la première fois, j’ai pu attendre la sélection sereinement. Sans regarder qui était blessé. Avant, je n’avais jamais aucune certitude et je dépendais souvent des forfaits en défense" explique Ciman dans la DH. En effet, comme nous vous l'avions annoncé, Roberto Martinez avait avoué que seul lui était assuré de faire partie du groupe.

"Il n’y a pas de mots pour décrire ce que je ressens" poursuit-il. "Comme quand les supporters scandent mon nom quand je monte au jeu. Avant, quand j’étais repris, la plupart des gens se demandaient ce que je faisais dans ce groupe où il n’y a que des joueurs évoluant dans des grands clubs de grands championnats."

"Du temps de Leekens, déjà. C’était même pire. Aujourd’hui, je sens le soutien des supporters, y compris du côté flamand. Quand on connaît mon passé à Bruges, cela me touche d’autant plus. Le regard des gens a évolué, suite à mes prestations et à mon parcours atypique" ajoute-t-il.