Scholz ne jouera plus ? Du pour et du contre
Photo: © photonews
Le Standard a décidé de ne plus aligner Alexander Scholz cette saison histoire qu’il puisse se reposer. Vu qu’il n’y a plus que des matchs sans importance pour les Liégeois, c’était le moment idéal. Mais pas que pour ça.
Quand un joueur ne preste plus, cela a toujours des bons et des moins bons côtés. Walfoot a décidé de faire le tour de la question et de peser le pour et le contre d’une telle décision.
Pour
Dino Arslanagic va rejouer
Depuis qu’il est au Standard, le pauvre Dino a bien du mal à s’imposer dans la ligne arrière des Liégeois. Teixeira, Ciman, Scholz, Kosanovic lui ont volé la vedette. Pourtant, Dino, c’est la classe. Le genre d’esthète qu’on demande à voir sur un terrain plus souvent. Précis dans ses relances, vif comme l’éclair et avec une vista de lynx, il est impassable. Come on Dino !
Scholz va pouvoir se faire un tour du monde posé
On le sait, Alexander Scholz est un féru de voyage. Avec ce repos forcé, le Danois va donc pouvoir s’adonner à sa passion. Au volant de sa Micra, il va se faire un tour d’Europe façon road-trip philosophique. Paris, Berlin, Vienne, Tromso, Séville, Prague, Vladivostok, le défenseur a le choix.
Ferrera va pouvoir tester la défense à 3
Parce qu’en fait Arslanagic, ben, voilà…
Contre
On ne peaufine pas les automatismes
Ces différents matchs sans enjeu pour le Standard, s’ils sont l’occasion de reposer certains cadres, ils auraient également pu être le moment idéal pour améliorer les automatismes entre les joueurs, sans pression. Si la paire Kosanovic – Scholz a donné satisfaction, quelques matchs de plus ne sont jamais un tort pour encore mieux se connaitre.
Ca va manquer d’intelligence
Sans remettre en cause la lecture du jeu de Milan Kosanovic, on peut bien constater que Scholz est un cran au-dessus. L’équilibre défensif, sans lui, n’est pas du tout le même. Son calme, notamment, est un atout important pour le Standard.
On ne verra plus sa belle chevelure
Adieu la longue crinière de dandy viking d’Alexander Scholz. Ses longs cheveux hippies au vent d’égayeront plus les matchs du Standard. Heureusement qu’il reste Adrien Trebel pour parler coiffure.
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