EXCLUSIF: Reynaldo se confie avant Qarabag-Anderlecht (partie 2)

Suite et fin de l'interview. Première partie ici!

Le niveau du championnat azéri est-il bon, si tu le compares au belge?

C'est plus faible qu'en Belgique. Nous n'avons pas les mêmes stades ni autant de supporters... Parfois, c'est un peu difficile de se motiver, mais c'est une compétition difficile, compliquée. C'est très intense, très physique.
Beaucoup de joueurs sont passés par ici et n'ont pas réussi à marquer un seul but en six mois de temps... Heureusement, je m'y suis vite fait. Je suis totalement intégré, habitué au pays. J'ai la chance de faire ce que j'aime...

Peux-tu comparer Anderlecht à Qarabag?

Non, on joue un autre football. C'est incomparable... Je dirais que les deux clubs ont vraiment très peu en commun.

Tes statistiques à Qarabag sont impressionnantes (49 buts en 100 matchs). As-tu changé ta façon de jouer?

Oui, j'ai changé beaucoup de choses, en fait. Mais le plus important pour jouer à un bon niveau et marquer des buts, c'est d'avoir la confiance de l'entraîneur. Je n'ai pas assez de mots pour remercier mon entraineur du soutien qu'il m'apporte. Il me donne beaucoup de liberté et j'en profite un maximum, un peu comme au Cercle de Bruges avec Bob Peeters.

Y a-t-il d'autres stars, dans l'équipe?

Tout le monde connaît Samuel Armenteros (passé par Anderlecht aussi, NdR), mais il y a un joueur au milieu de terrain, Richard Almeida, qui est peut-être le meilleur joueur avec lequel j'ai jamais joué. L'Espagnol Dani a aussi énormément de qualités.