Le sens du fair-play et Johan Vermeersch, c'est comme BP et l'écologie dans le golfe du Mexique : ça fait des dégâts. Après le match perdu par le Brussels contre Wetteren, il s'est à nouveau illustré.
Johan Vermeersch n'aime pas perdre. La chose est connue. Toutefois, un minimum de fair-play est normalement de mise après un match. Ainsi après le coup de sifflet final, le club visité invite toujours la direction du club visiteur à une réception. Mais après la défaite du Brussels, le président Vermeersch, ainsi que l'ensemble de la direction bruxelloise, ont tourné le dos à la délégation de Wetteren. Plus muffle que ça, tu meurs. Par ailleurs, le club bruxellois qui avait la défaite décidément mauvaise avait également décidé d'annuler la traditionnelle conférence de presse des entraineurs.