Jonathan Lefèvre tient à réagir
Photo: © SC
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Cité dans un article paru dans Sudpresse, le défenseur tient à donner sa version des faits.
Mardi, l'entraîneur visétois José Riga s'expliquait, dans les colonnes de l'édition liégeoise de Sudpresse, sur les raisons de la non-reconduction du contrat du Français Ludovic Diaz. Son intervention mentionnait comme exemple, la mauvais expérience des Mosans lors de la blessure de Jonathan Lefèvre. Le futur joueur du CS Verviers n'a pas véritablement apprécié d'être pris comme un mauvais exemple !
"Tout d'abord, José Riga m'a fermé la porte pour un transfert, alors que j'étais le plus petit contrat des joueurs titulaires à ce moment là, vers le FC Malines. Le club anversois me voulait après mon excellent tour final, mais gratuitement. Ensuite, une blessure est survenue par malchance.
Après avoir travaillé d'arrache-pied et être revenu à mon meilleur niveau, Casimir Jagiello, un coach choisi par José Riga lui-même, m'a fait faire une surchage de travail tout à fait évitable. J'ai, du coup, subi une deuxième longue blessure. Le club m'a augmenté, malgré tout, suite à mes sollicitations de l'année précédente. Après avoir de nouveau travaillé en collaboration avec le staff technique, je suis revenu à mon meilleur niveau et suis rentré dans le quinze avec un 15 sur 15 à la clé.
Malgré tous ces efforts, Monsieur Riga n'était pas content et m'a clairement dit que j'évoluerais en réserve si je continuais de la sorte au deuxième tour. J'ai demandé à partir. Il a refusé à plusieurs reprises et puis accepté le 27 janvier, en fin de mercato, quand des portes étaient presque refermées, et contre une compensation financière importante pour un joueur comme moi.
Il a donc récupéré l'argent dépensé pour m'augmenter ! Au FC Liège, à chaque fois que je suis rentré, je l'ai bien fait, et ce de façon unanime. Pour en témoigner, il suffit d'aller voir les réactions des supporters sur le forum du club. J'ai également été repris en équipe nationale non-amateur avec Monsieur Huet, participant brillamment à la qualification de notre région.
Pour finir, je viens de signer au RCS Verviers, club qui a accroché Visé lors du précédent exercice, car ils savent et on vu que j'étais revenu à mon meilleur niveau, contrairement aux affirmations d'un entraineur qui n'a pas joué plus haut qu'en deuxième provinciale.
Si moi, j'ai peut-être coûté de l'argent, mais pas grand chose vu mon contrat, c'était tout de même beaucoup moins que ses erreurs telles que Sarfati (blessé un an), Bosak (signé et puis déchirure, donc pas joué), Costantin (français arrivé, mais tout le temps reparti en france pour des excuses extra-sportives). Il laisse Ludo Diaz tout seul, sans revenus et sans logement pour se soigner, alors qu'il était titulaire indiscutable et que c'est lui qui a été le chercher.
Les années précédentes, il a fait revenir des joueurs comme Scatone pour les rejeter dans les derniers jours du mercato comme des moins que rien. Sans compter Gunther Verjans, remercié après trois années exemplaires. J'arrête là car les exemples sont trop nombreux. José Riga devrait être franc et pas toujours tourner tout à son avantage. Il doit reconnaitre ses erreurs.
Heureusement que tous les clubs n'ont pas la mentalité de José Riga et Guy Thiry. En témoigne, l'engagement de Franck Berrier, touché au croisés ,et qui va au Standard. Le même constat vaut pour Koen Daerden. Alors que moi, j'ai été très fair-play en souhaitant le meilleur au CS Visé lors de mon départ, voici sa réaction. Où est l'homme qui a soit disant la classe ?"
"Tout d'abord, José Riga m'a fermé la porte pour un transfert, alors que j'étais le plus petit contrat des joueurs titulaires à ce moment là, vers le FC Malines. Le club anversois me voulait après mon excellent tour final, mais gratuitement. Ensuite, une blessure est survenue par malchance.
Après avoir travaillé d'arrache-pied et être revenu à mon meilleur niveau, Casimir Jagiello, un coach choisi par José Riga lui-même, m'a fait faire une surchage de travail tout à fait évitable. J'ai, du coup, subi une deuxième longue blessure. Le club m'a augmenté, malgré tout, suite à mes sollicitations de l'année précédente. Après avoir de nouveau travaillé en collaboration avec le staff technique, je suis revenu à mon meilleur niveau et suis rentré dans le quinze avec un 15 sur 15 à la clé.
Malgré tous ces efforts, Monsieur Riga n'était pas content et m'a clairement dit que j'évoluerais en réserve si je continuais de la sorte au deuxième tour. J'ai demandé à partir. Il a refusé à plusieurs reprises et puis accepté le 27 janvier, en fin de mercato, quand des portes étaient presque refermées, et contre une compensation financière importante pour un joueur comme moi.
Il a donc récupéré l'argent dépensé pour m'augmenter ! Au FC Liège, à chaque fois que je suis rentré, je l'ai bien fait, et ce de façon unanime. Pour en témoigner, il suffit d'aller voir les réactions des supporters sur le forum du club. J'ai également été repris en équipe nationale non-amateur avec Monsieur Huet, participant brillamment à la qualification de notre région.
Pour finir, je viens de signer au RCS Verviers, club qui a accroché Visé lors du précédent exercice, car ils savent et on vu que j'étais revenu à mon meilleur niveau, contrairement aux affirmations d'un entraineur qui n'a pas joué plus haut qu'en deuxième provinciale.
Si moi, j'ai peut-être coûté de l'argent, mais pas grand chose vu mon contrat, c'était tout de même beaucoup moins que ses erreurs telles que Sarfati (blessé un an), Bosak (signé et puis déchirure, donc pas joué), Costantin (français arrivé, mais tout le temps reparti en france pour des excuses extra-sportives). Il laisse Ludo Diaz tout seul, sans revenus et sans logement pour se soigner, alors qu'il était titulaire indiscutable et que c'est lui qui a été le chercher.
Les années précédentes, il a fait revenir des joueurs comme Scatone pour les rejeter dans les derniers jours du mercato comme des moins que rien. Sans compter Gunther Verjans, remercié après trois années exemplaires. J'arrête là car les exemples sont trop nombreux. José Riga devrait être franc et pas toujours tourner tout à son avantage. Il doit reconnaitre ses erreurs.
Heureusement que tous les clubs n'ont pas la mentalité de José Riga et Guy Thiry. En témoigne, l'engagement de Franck Berrier, touché au croisés ,et qui va au Standard. Le même constat vaut pour Koen Daerden. Alors que moi, j'ai été très fair-play en souhaitant le meilleur au CS Visé lors de mon départ, voici sa réaction. Où est l'homme qui a soit disant la classe ?"
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