Malgré le titre, la tension est vive à Naples

Malgré le titre, la tension est vive à Naples

Naples ne serait pas Naples sans son truculent président Aurelio De Laurentiis. Pour ses bons comme pour ses moins bons côtés.

Dans un club volcanique comme Naples, les extrêmes se cotoient parfois de manière inattendue. Quelques semaines après l'officialisation du titre tant attendu, le club est sous pression. L'entraîneur Luciano Spalletti pourrait partir en claquant la porte. Selon La Gazzetta dello Sport, le comportement du président De Laurentiis. 

Ce dernier aurait levé le contrat de Spalletti à l'insu de ce dernier jusqu'en juin 2024 aux mêmes conditions financières. Des agissements d'autant plus douteux que l'entraîneur l'aurait appris par mail pau avant la rencontre face à Udinese. 

"Il ne fait aucun doute que nous aimerions voir Spalletti rester à Naples, mais la liberté n'a pas de prix. Nous ne devons pas couper les ailes à qui que ce soit, et personne ne doit le faire avec moi. Le plus important est d'être reconnaissant envers les gens qui vous ont donné quelque chose", a déclaré De Laurentiis lors de la cérémonie des champions hier.

Un discours qui témoigne de la tension règnant et qui entraîne déjà les spéculations quant à l'identité d'un potentiel successeur. A ce petit jeu, les noms de Rafa Benitez, Roberto De Zerbi et Antonio Conte sont ceux qui reviennent avec le plus d'insistance. 

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