L'échec de Felice Mazzu à Genk? "C'était un risque, mais il ne pouvait pas refuser"

L'échec de Felice Mazzu à Genk? "C'était un risque, mais il ne pouvait pas refuser"
Photo: © photonews

Après six belles saisons avec le Sporting de Charleroi, où il a d'ailleurs été dignement accueilli quand il y est revenu, Felice Mazzu n'aura eu que quelques mois de crédit dans le Limbourg.

Le Racing Genk en difficulté en championnat et humilié à plusieurs reprises en Ligue des Champions, Felice Mazzu n’a pas survécu à un bilan délicat et la direction des champions de Belgique a décidé de le remercier le 12 décembre.  Un peu tôt pour beaucoup d'observateurs.

Gonzague Vandooren, qui a passé trois saisons à Genk, comprend cette analyse. "Il a peut-être eu moins de crédit qu’un Hein Vanhaezebrouck par exemple, mais la langue a sans doute joué un rôle", estime-t-il.

Un risque à prendre

"Je ne sais pas comment ça se passait dans le vestiaire, au niveau de la communication, mais le fait qu’il ne parle pas néerlandais ne l’a pas aidé à se mettre les supporters dans la poche  et si les résultats ne suivent pas, ça peut vite devenir compliqué."

Et pourtant, Felice Mazzu devait tenter ce défi-là. "Il sortait d’une superbe aventure avec Charleroi et c’était le bon moment pour lui. Il avait des choses à jouer, il ne pouvait pas refuser une telle opportunité. Mais je suis sûr qu’on le reverra très vite sur un banc", conclut Gonzague Vandooren.

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