Pellegrini tire au bazooka sur le Real
Photo: © SC
L'ex-coach chilien du Real revient pour la première fois depuis son éviction à la tête du Real sur les causes de son échec à la tête des Merengues. Et il ne prend pas des pincettes pour dire tout le mal qu'il pense du président Florentino Perez.
En accordant une interview à la revue Sabado éditée par le quotidien espagnol El Mercurio, Manuel Pellegrini règle ses comptes avec la direction du club madrilène. Certes, l'entraineur chilien endosse sa part de responsabilité dans le fiasco de la saison passée. Mais il fait porter le plus gros du chapeau au président Perez avec lequel le courant n'est jamais passé.
Dès le début, la relation fut tendue entre les deux hommes. Pellegrini n'acceptant de gaité de coeur, et c'est un euphémisme, la vente imposée par Perez de Arjen Robben et de Wesley Sneijder, excusez du peu. Selon l'ancien coach madrilène, il n'avait pas voix au chapitre. Il affirme ainsi que "nous avions une différence d'opinion sur la composition de l'équipe. Il a ainsi vendu des joueurs que j'estimais importants".
Car pour le Chilien, Perez est obnubilé par les stars, pas par l'équilibre de son équipe. El ingeniero, l'ingénieur, tel qu'on le surnomme, se montre alors quasiment allégorique dans ses propos. "Il fait venir les meilleurs joueurs, sans tenir compte de leur place sur l'échiquier. Il ne sert à rien d'avoir un orchestre avec les dix meilleurs guitaristes, si vous n'avez pas non plus un pianiste. Le Real de Madrid a les meilleurs guitaristes, mais quand je leur demandais de jouer au piano, ils faisaient des fausses notes".
Dès le début, la relation fut tendue entre les deux hommes. Pellegrini n'acceptant de gaité de coeur, et c'est un euphémisme, la vente imposée par Perez de Arjen Robben et de Wesley Sneijder, excusez du peu. Selon l'ancien coach madrilène, il n'avait pas voix au chapitre. Il affirme ainsi que "nous avions une différence d'opinion sur la composition de l'équipe. Il a ainsi vendu des joueurs que j'estimais importants".
Car pour le Chilien, Perez est obnubilé par les stars, pas par l'équilibre de son équipe. El ingeniero, l'ingénieur, tel qu'on le surnomme, se montre alors quasiment allégorique dans ses propos. "Il fait venir les meilleurs joueurs, sans tenir compte de leur place sur l'échiquier. Il ne sert à rien d'avoir un orchestre avec les dix meilleurs guitaristes, si vous n'avez pas non plus un pianiste. Le Real de Madrid a les meilleurs guitaristes, mais quand je leur demandais de jouer au piano, ils faisaient des fausses notes".
Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot
Getafe
Séville
Osasuna
Rayo Vallecano
Real Sociedad
UD Las Palmas
Celta De Vigo
